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2 ème commandement du dragueur

« L'érotisme féminin est continu, alors que l'érotisme masculin est discontinu »

C'est souvent des pulsions, l'envie d'étreindre immédiatement, d'arracher ce vêtement moulant qui dessine des formes généreuses ou d'embrasser ces lèvres si innocentes, la pression est forte.

Il faut savoir patienter un peu, ne pas tout donner immédiatement, ne pas tout dire ou laisser sentir. Les rendez-vous, les après midi peuvent paraître un châtiment si la belle ne laisse rien savoir, mais si vous maîtrisez les ambiances, les lieux, ET SURTOUT VOS PULSIONS, elle pourrait venir naturellement d'elle même. Soyez patient !

1er commandement du dragueur

« Pour les femmes, le succès d'une rencontre est le résultat des étoiles et d'un merveilleux hasard, il est en fait l'aboutissement d'un travail insoupçonné mais acharné du bon dragueur»

Le bon dragueur ou séducteur comme vous l'entendrez à toujours plus d'un tour dans son sac, malin, réactif, rapide il s'adaptera à toutes les situations sans laisser transparaître son jeu.

Oui, si vos objectifs sont ambitieux, la belle, réputée une forteresse imprenable, ne vaut-elle pas le coup - d'où vient l'expression à votre avis de s'attarder un peu sur une stratégie amoureuse ? Il est certainement possible de faire tressaillir une fille hautaine trop belle même avec des choses simples…. Mon professeur de négociation nous rappelait toujours la nécessité de cette préparation :

Lors d'une soirée, une fille vous plaît terriblement, vous l'abordez d'un pas sûr, mâle et un regard brillant, en la fixant et vous lui assénez, « Mademoiselle voulez vous coucher avec moi ? » Résultat : Vous recevrez au mieux un regard incendiaire au pire le poing de son meilleur ami.

Même soirée, flash-back : cette même fille vous plaît terriblement. Immédiatement vous prenez le temps d'observer son entourage, ses amis. Et là vous choisissez l'instant, vous vous approcher sans qu'elle ne vous remarque, vous êtes dos à elle et reculer tranquillement avec le dessein de la heurter délicatement mais avec conviction, vous vous efforcez de la perturber suffisamment pour qu'elle soit surprise sans lui faire éprouver la moindre crainte. BOOM un petit cri, elle se retourne, immédiatement vous lui offrez votre meilleur jeu d'acteur de l'homme confus. « Vous n'avez rien ?, ça va ? « oui, oui ça va, oui bien sûr et vous ? » Puis vous contrastez avec un grand sourire, et lui proposez immédiatement un verre en prétextant que vous êtes désolé. Est elle blessée, la pauvre enfant ? Sa robe n'a rien ? Tous les sujets son bons pour détourner son conscient de votre proposition. Dans l'action et la surprise elle peut accepter.

Les deux techniques ont pourtant le même objectif. Alors si vous n'êtes pas un acteur ou une star internationale la préparation peut vous aider.

Susurrer aux fusionnelles, balancer aux ouvertes (suite)

Les ouvertes aiment monopoliser l’attention du parterre d’hommes qui la mâtent de façon indécente.

La femme ouverte n’a pas peur de se mettre en valeur et aime ça. Elle a un caractère affirmé et c’est en la laissant frimer que vous parviendrez à la conquérir. Admirez-la, félicitez-la pour sa vivacité d’esprit et son élocution, elle se sentira bien plus flattée que si vous vantez la fermeté de ses courbes : elle est belle, et elle le sait, merci. Elle passe beaucoup de temps à se maquiller et à choisir des sapes qui la flatteront au mieux : c’est une chasseuse, vous l’êtes aussi, ne prenez donc pas les mêmes armes qu’elle – les dragueurs, avec le cul qu’elle a, elle les renifle à cent mètres… Donc usez d’un stratagème digne des vieux chefs sioux, flattez son esprit.